18h30 Cinéma. Jimmy’s Hall (2014) Film de Ken Loach inspire de faits réels qui se sont passés en Irlande. Après la projection, picnic (merci de penser aux boissons!) Merci aussi de consacrer un peu de temps à la remise en état de la salle. Edith Bourquin, 032 731 51 13
Je
27.avr.
15h00-16h30 Petite Librairie. Claudine Zürcher 032 842 51 38 cl.zurcher@bluewin.ch
La section Musique du Lyceum Club de Neuchâtel invite la jeune et brillante pianiste Delphine Co pour un récital de haut niveau
Delphine Co, piano
Mardi 7 mars, 19h30
Local du Lyceum, Beaux-Arts 11, 1er étage, 2000 Neuchâtel
Au programme:
Œuvres de Liszt
Biographie
Ayant débuté dans une filière scientifique, Delphine Co décide de changer de voie en 2012 et de se perfectionner au piano auprès de Romain Descharmes au CRR de Paris et de Bruno Rigutto à la Schola Cantorum. Elle ressort diplômée des deux écoles avec distinctions et félicitations du jury en 2014. Elle entre ensuite en Bachelor à la Haute École de Musique de Genève dans la classe de Marc Pantillon et de Cédric Pescia et ressort diplômée de deux masters – enseignement et concert – en 2022 où elle obtient le prix spécial Adolf Neumann. Elle se produit régulièrement en concerts notamment lors des festivals des Lisztomanias aux côtés de Bruno Rigutto, mais aussi en quatre mains avec Marc Pantillon, en musique de chambre ainsi qu’en soliste. Quart de finaliste au prestigieux concours international Clara Haskil en 2019, elle est également lauréate de plusieurs concours tels que le concours Steinway & Sons en 2012, le concours Musical de France en 2013, le concours Claude Kahn en 2014, le concours d’interprétation musicale de Lausanne en 2015 et le concours international du Val-de-Travers.
Prix des billets:
Adultes: CHF 20.- Lycéennes: CHF 15.- Jeunes en formation: entrée gratuite Responsable de section «Musique» du Lyceum Club de Neuchâtel: Veneziela Naydenova, tel +41 79 722 45 73
Mardi 21 février 2023 à 19h30, local du Lyceum Club
Né en 1955 à Porrentruy, Daniel Sangsue a fait ses études à l’Université de Genève, où il a obtenu une licence (1979), puis un doctorat ès lettres (1987). Il a ensuite été chargé d’enseignement à l’Université de Genève, professeur invité à l’Université de la Sorbonne Nouvelle (Paris 3), puis professeur titulaire à l’Université Stendhal (Grenoble 3). De 1998 à 2018, il a été professeur de littérature française des XIXe et XXe siècles à l’Université de Neuchâtel, dont il est maintenant professeur émérite.
Spécialiste d’histoire littéraire du XIXe siècle et de poétique, Daniel Sangsue a publié plusieurs essais : Le Récit excentrique (Corti, 1987), La Parodie (Hachette, 1994 ; traduit en italien), Stendhal et l’empire du récit (SEDES, 2002), La Relation parodique (Corti, 2007), Fantômes, esprits et autres morts-vivants, essai de pneumatologie littéraire (Corti, 2011), Vampires, fantômes et apparitions (Hermann, 2018), Rencontre d’un excentrique et d’une parodie sur une table de dissection (La Baconnière, 2021). Il est également romancier, sous le pseudonyme d’Ernest Mignatte (Le Copiste de Monsieur Beyle, Metropolis, 1998 ; Ma tante d’Amérique, id., 2001 ; Le Copiste aux eaux, id., 2012), ainsi que sous son propre nom (A la recherche de Karl Kleber, Favre, 2020 ; Les Fantômes du presbytère, La Baconnière, 2022).
Les Fantômes du presbytère
Le narrateur et son épouse, fraîchement retraités, achètent dans l’Aveyron un presbytère du XVIIIe siècle, accolé à une église désaffectée et flanqué d’un charmant petit cimetière. Peu de temps après leur installation, les nouveaux propriétaires sont confrontés à des phénomènes étranges, qui leur laissent supposer que le presbytère est hanté. Or il se trouve que le narrateur est spécialiste des fantômes, sur lesquels il a écrit plusieurs ouvrages académiques. Il ne se laisse pas impressionner et, avec l’aide de son épouse, cherche à entrer en contact avec l’entité qui se manifeste par des bruits, des déplacements d’objets, etc. Grâce à la découverte du journal intime du curé qui fut le dernier habitant du presbytère et d’autres documents précieux, il parvient à comprendre pourquoi ce curé est devenu une âme en peine et réussit à libérer cette âme du purgatoire.
Entrée
Adultes : non membres CHF 15.-, Lycéennes : CHF 10.- ; Jeunes en formation : gratuit
18h30 Cinéma. Dialogue avec mon jardinier (2007) Film de Jean Becker avec Daniel Auteuil et Jean-Pierre Darroussin. Après la projection, picnic (merci de penser aux boissons!) Merci aussi de consacrer un peu de temps à la remise en état de la salle. Edith Bourquin, 032 731 51 13
18h30 Cinéma. L’horloger de St-Paul (1974) Film de Bertrand Tavernier, d’après un roman de Georges Simenon, avec Philippe Noiret et Jean Rochefort. Après la projection, picnic (merci de penser aux boissons!) Merci aussi de consacrer un peu de temps à la remise en état de la salle. Edith Bourquin, 032 731 51 13
Je
09.févr.
12h00-14h00 Pauses vagabondes. Christine et Stefano Juri, Un mini van pour le grand Nord. Catherine Roussy Wessner, 079 698 89 31 catherine.wessner@net2000.ch
Mardi 31 janvier 2023 à 19h30, local du Lyceum Club
Journaliste depuis presque 30 ans, Sylvie Jeanbourquin a eu envie d’explorer d’autres formats d’écriture, plus personnels et nourrissants. Elle aime rendre compte de la richesse des vies humaines, notamment celles des femmes, qui restent souvent dans l’ombre.
La conférence expliquera l’utilité du récit de vie pour transmettre votre histoire personnelle ou familiale à vos proches, ou pour raconter une étape de votre vie (mariage, reconversion professionnelle, départ à la retraite, retour de voyage, etc.). Le récit de vie permet de laisser une trace, de témoigner, de valoriser son existence ou de donner du sens. Il peut se faire aussi pour l’histoire d’une maison, d’un quartier, d’une association ou de façon collective par des témoignages sur une problématique (femmes migrantes par exemple).
Entrée
Adultes : non membres CHF 15.-, Lycéennes : CHF 10.- ; Jeunes en formation : gratuit
Au local du Lyceum les 26.01, 9.02, 23.02, 9.03 2023
L’expérience si particulière du voyage autonome invite à penser, vivre et découvrir différemment des régions inconnues. Elle contraste avec une consommation irraisonnée de séjours anonymes, de forteresses hôtelières ou de cabines luxueuses, de publications pléthoriques sur les réseaux sociaux.
Les Pauses vagabondes accueilleront des voyageurs qui ont accepté l’incertitude, les aléas de leur projet, le trajet méditatif sur les routes européennes. Ils raconteront le fruit de leur expérience.
La rencontre se décline en quelques principes
programmée le jeudi, vous vous référerez aux dates et heures retenues ci-dessous
une réservation (voir le lien ci-dessous) sera nécessaire
les orateurs s’entretiennent avec une médiatrice devant le public attablé pour son lunch
un écran projette une petite sélection de souvenirs
une application pour smartphone/iPhone permettra de collecter en direct commentaires et questions, qui seront ainsi regroupées par thème et discutées avec les invités
cafés, thés et eau seront offerts
une contribution au chapeau est proposée en fin de pause
chaque témoignage est centré sur un aspect de l’aventure de la solitude : paquetage et équipement, condition physique, rencontres, voyage intérieur, événements marquants, origine des choix (écologie, spiritualité, partage, frugalité, aventure, liberté…
Programme
Jeudi 26 janvier 2023 12.00 – 14.00
Alix Lauener, Traverser les Alpes, rejoindre la mer
Jeudi 9 février 2023 12.00 – 14.00
Christine et Stefano Juri, Un mini van pour le grand Nord
Jeudi 23 février 2023 12.00 – 14.00
Fenneke Reysoo, Trans Swiss Trail : dessiner sa contemplation
Mélangez les gousses de vanille fendues, dont les graines auront été récupérées, et la vanille en poudre avec le lait et le beurre. Faites infuser à feu doux sans ébullition 10 minutes puis réserver au frais.
Blanchissez les œufs avec le sucre au batteur électrique puis ajoutez la farine. Bien amalgamer au fouet ou batteur électrique puis réservez.
Versez le lait sans les gousses sur le mélange d’œufs blanchis en fouettant afin que l’appareil soit homogène et assez souple.
Remettre les gousses dans l’appareil. Réservez au froid (frigo). Laissez reposer la pâte au moins 24 heures. Cet appareil est assez stable, après 3 jours il est encore meilleur.
Utilisez les moules en silicone. Bien mélanger et filtrer la pâte.
Préchauffez le four à 210 degrés. Enfournez, puis tournez les moules après 20 minutes. Baissez le feu à 180 degrés et laisser cuire encore 50 minutes.
Démoulez à chaud. Laissez croûter les cannelés à l’air.
La recette en elle-même n’est pas très compliquée, la cuisson par contre est délicate.
De plus la cuisson en pâtisserie dans des moules en silicone est de nos jours décriée, mais on ne fait pas des cannelés tous les jours.
Donc, ne pas hésiter à prendre la qualité la meilleure, l’idéal restant les moules en cuivre!