10h00-11h30 Danses du monde. Isabelle Opan 032 725 38 90; 079 637 27 13, isabelle@opan.ch, au local
Je
16.mai
18h15 . Film du jour au cinéma Bio (chacun·e achète sa place). « Augure » de Baloji. Avec Marc Zinga, Lucie Debay, Eliane Umuhire, Yves-Marina Gnahoua, Marcel Otete Kabeya. Après la projection, picnic au local (merci de penser aux boissons!). Monique Graf 079 581 32 09.
Me
15.mai
14h00-15h30 Italiano (lettura e conversazione). Rita Bichsel, 032 730 10 16, rita.bichsel@infomaniak.ch
Ma
14.mai
16h00-17h30 Section Beaux-arts. Photographe en pleine nature par Sandra Mattsson. Anne Catherine Hubleur 076 443 25 02, cathy_hubleur@hotmail.com ; Laure-Anne Benz 079 437 59 72, laure-anne_benz@bluewin.ch
Conférence de Veneziela Naydenova, Docteure en musicologie
Mardi 16 avril 2024, 19h30
Section Musique
Galina Ustvol’skaja (1919-2006) et Sofiâ Gubajdulina (1931-) sont deux des compositrices russes les plus originales et les plus influentes de l’Union soviétique. Dans les années de changements politiques, quand il commence une collaboration jusqu’alors inenvisageable entre l’Europe de l’Est et de l’Ouest, leur œuvre suscite un vif intérêt. Après l’ouverture des frontières, elles reçoivent un accueil triomphal à l’Ouest.
Avec la participation de Laure Franssen Eekman (flûte traversière) et Jessica Marquis (piano).
Galina Ustvol’skaja
Sofiâ Gubajdulina
Lieu
Local du Lyceum Club, Beaux-Arts 11, Neuchâtel
Entrée
Adultes : non membres CHF 15.-, Lycéennes : CHF 10.- ; Jeunes en formation : gratuit
Depuis plus de 20 ans, Alison Davis travaille à l’échelle internationale dans le domaine de la transformation et du développement personnel. Elle a grandi en Angleterre, puis vécu et étudié en France. Après un parcours jusqu’au niveau doctoral, elle a enseigné à l’université, puis travaillé comme manager dans une grande entreprise française. Son expérience couvre donc les milieux publics de l’enseignement et de la formation, aussi bien que ceux des cultures d’entreprise.
Elle a ensuite suivi une formation de coach et travaillé pour l’organisation Youth at Risk (Maintenant : Grit www.grit.org.uk), aaider de jeunes aliénés à transformer leur vie. Depuis lors, elle se forme et travaille dans le domaine du mentorat (travail sur le voyage intérieur, la libération émotionnelle, la direction spirituelle, travail sur l’énergie), et du coaching (coaching de carrière et coaching de vie). Aujourd’hui, elle dirige ses propres programmes de « Leadership féminin inspiré » (Inspired Feminine Leaders).
Nous nous trouvons à un moment charnière sur la planète, où nous sommes appelés à passer à un nouveau paradigme. Le Leadership Féminin Inspiré est un nouveau paradigme de leadership qui redéfinit le leadership pour les femmes – pour qu’elles puissent réaliser le rôle essentiel qu’elles ont à jouer durant cette période clé.
Le parcours des femmes a été marqué par des luttes historiques pour l’égalité et la reconnaissance, souvent en compétition avec les hommes. Le féminisme a permis de faire entendre la voix des femmes, mais pour pouvoir créer un nouveau monde futur qui est durable, harmonieux et bénéfique pour tous, il va nous falloir dépasser cette simple quête d’égalité.
Actuellement nous opérons dans des systèmes qui sont pour la plupart patriarcaux. Pour créer et diriger le monde de demain, nous devons trouver un nouvel équilibre entre nos qualités féminines et masculines. Ce que nous avons appris jusque-là ne nous suffira pas – il va nous falloir développer un nouveau niveau de confiance en notre capacité à rayonner notre pouvoir décliné au féminin.
Nous devrons surmonter nos croyances limitantes, le sentiment de ne pas avoir de légitimité, la peur du rejet et l’isolement. Une fois ces obstacles franchis, nous pourrons prendre notre place, contribuer aux changements nécessaires et pleinement réaliser le potentiel profondément transformateur de notre leadership inspiré féminin.
Informations pratiques
Lieu
Local du Lyceum Club, Beaux-Arts 11
Prix
Adultes : non membres CHF 15.-, Lycéennes : CHF 10.- ; Jeunes en formation : gratuit
Organisatrice
Nathalie Duplain Michel, Section Lettres et sciences humaines
Irene Becci a fait ses études de sociologie et d’anthropologie à Lausanne et à Rome (BA et MA). Elle a ensuite collaboré pendant trois ans à des recherches sociologiques sur les changements religieux en Suisse financées par le FNRS. Elle a défendu sa thèse portant sur une comparaison du rapport à la religion dans des prisons d’Allemagne de l’est et d’Italie en 2006 à l’Institut Européen de Florence. Elle a poursuivi son enquête et a publié ses travaux sur le monde carcéral dans son livre Imprisoned Religion. An Analysis of the Transformations of Religion during and after Imprisonment (Aldershot: Ashgate, 2012). Depuis, 2012, Irene Becci est professeure, à l’Université de Lausanne, dans le domaine « Émergences religieuses et nouvelles spiritualités ».
Autrice de plusieurs ouvrages et de nombreux articles scientifiques, elle s’intéresse aux pratiques et discours liés à la spiritualité et au religieux dans des contextes spécifiques, notamment les institutions étatiques, les mouvements sociaux, les quartiers urbains marginaux, ainsi qu’à des questions d’épistémologie et de méthodologie de la recherche.
Le courant de pensées et d’actions militantes appelé l’écofémisme articule des connaissances, approches et revendications écologistes et féministes. Le mode d’exploitation des ressources naturelles est ramené à un imaginaire commun qui justifie également l’ordre social patriarcal, exploitant les femmes. Le terme est apparu dans les années 1970 avec les écrits de Françoise d’Eaubonne, figure iconoclaste à la croisée du militantisme féministe, de l’écologie radicale et de la pensée libertaire. En appelant ces luttes à converger elle souhaitait renforcer des solidarités s’opposant, dans un contexte de guerre froide, à l’épuisement des ressources et l’accroissement des pollutions par les sociétés occidentales. Ces convergences commencent à exister dans un premier temps dans les pays anglo-saxons où un ensemble de mouvements et théories rattachables à l’écoféminisme se développe de façon plurielle et hétérogène. Au-delà de son hétérogénéité, cette mouvance aux contours souples présente un certain nombre de caractéristiques communes comme la primauté accordée à l’expérience, l’appel à cultiver son intériorité et le soin des corps, l’optimisme quant aux possibilités de vivre en harmonie avec la nature, l’accent mis sur la notion de guérison, avec un côté souvent spirituel voire magique. Un tournant écoféministe a commencé à s’installer dès 2015 dans le monde de l’éco-activisme francophone européen.
Informations pratiques
Lieu
Local du Lyceum Club, Beaux-Arts 11
Prix
Adultes : non membres CHF 15.-, Lycéennes : CHF 10.- ; Jeunes en formation : gratuit
Organisatrice
Nathalie Duplain Michel, Section Lettres et sciences humaines
Née à Genève en décembre 1957 dans une famille de musiciens, Marianne Grasselli Meier a suivi des études de piano puis de chant, avant de poursuivre une carrière en tant qu’auteure-compositrice-interprète, tout en consacrant du temps à sa famille. Devenue enseignante spécialisée puis musicothérapeute, la musique a été l’outil principal de ses accompagnements qu’ils soient sous forme de développement personnel ou de thérapie, de prise en charge individuelle ou de cercles de femmes. Pionnière suisse des cercles de femmes, elle n’a cessé depuis d’accompagner les êtres à se reconnecter à ce qu’elle nomme « une spiritualité de l’évidence », par le lien à retrouver avec la Nature. Ecothérapeute, elle a mis en place une formation de praticien.ne en Ecorituels® proposée en Suisse, en France et en Belgique. Elle a publié plusieurs ouvrages dont :
Le réveil des gardiennes de la Terre, guide pratique d’écothérapie, Éditions Courrier du Livre, Paris, 2018.
L’oracle des saisons, quand la nature parle aux femmes, Ed Courrier du Livre, Paris 2019
La nature guérisseuse, pratiques inspirantes d’Ecothérapie, Éditions Courrier du Livre, Paris, 2021.
La femme, comme les saisons, n’a pas une vie linéaire mais cyclique. La nature lui enseigne comment vivre une existence épanouie, à tout âge. Auparavant perçue comme non fiable de par sa mobilité psychique et physique, la femme actuelle trouve, dans son cycle, un fabuleux potentiel et des ressources sans cesse renouvelées.
Informations pratiques
Lieu
Local du Lyceum Club, Beaux-Arts 11
Prix
Adultes : non membres CHF 15.-, Lycéennes : CHF 10.- ; Jeunes en formation : gratuit
Des livres seront en vente à l’issue de la conférence.
Organisatrice
Nathalie Duplain Michel, Section Lettres et sciences humaines
Mardi 26 mars 2024, 19h30, local du Lyceum Club, Beaux-Arts 11
Atelier mythologique
Pourquoi le nom de la fête de Pâques est-il associé dans les langues germaniques et anglo-saxonnes avec le point cardinal de l’est ? Pourquoi le lapin symbolise cette fête chrétienne dont la date est liée à l’équinoxe de printemps ? Nous trouverons peut-être quelques réponses à ces questions dans la figure d’Ostara, mystérieuse déesse nordique et germanique du printemps qui ne nous est connue que par une unique source médiévale, un moine anglais du 8ème siècle du nom de Bède le Vénérable.
Ostara, Johannes Gehrts (1855-1921)
Une activité créative est prévue dans la seconde partie de l’atelier.
Organisatrice
Nathalie Duplain Michel, Section Lettres et sciences humaines
Inscription
Pour des raisons d’organisation (préparation de la salle, matériel pour les activités créatives), nous prions les personnes intéressées de s’inscrire à l’aide du formulaire ci-dessous : https://forms.gle/vcnzGNFxiU6V8SLWA
Une septantaine d’élèves motivés et talentueux suivent les cours des classes Pre-College, Cursus+, Cursus+Primo du CMNE. Ces cursus exigeants s’adressent à des élèves qui présentent un potentiel musical important et font preuve d’une motivation avérée. Durant cette formation, les élèves sont amenés à se produire sur scène dans un but pédagogique et artistique.
Ce concept permet aux élèves de s’adapter à la forme d’un véritable concert et ainsi ren- forcer leur motivation, leur plaisir et leurs capacités expressives. Le programme de ce concert sera forcément très varié, les âges des participant-e-s allant de 8 à 25 ans !
Valeur sûre du marché cinématographique, le film biographique s’intéresse régulièrement aux compositeurs classiques. Grâce aux biopics, certains d’entre eux, comme Jean de Sainte-Colombe grâce à Tous les matins du monde (1991), ont été découverts par le grand public. À l’heure où les compositrices sont encore largement délaissées par la programmation classique dans les salles de concert, qu’en est-il de leur représentation au cinéma ? Au-delà du constat de leur quasi- invisibilité dans le septième art, la conférence s’interrogera sur la manière dont les compositrices sont dépeintes, notamment en déterminant si les films parviennent à dépasser les stéréotypes de genre.
Delphine Vincent est maîtresse d’enseignement et de re- cherche à l’Université de Fribourg en musicologie. Après un doctorat sur la perception, l’idéologie et la réception de la mu- sique classique filmée et une habilitation sur les opéras contemporains dont le sujet est tiré de films, ses recherches portent sur la musique de film, les études de genre en musico- logie, les musiques du XXe et XXIe siècles, la musique suisse (Prix Meylan 2021) et la mise en scène d’opéra. Elle est, no- tamment, l’autrice de Musique classique à l’écran et percep- tion culturelle (2012) et l’éditrice de Mythologies romandes : Gustave Doret et la musique nationale (2018) et Les silences de la musique : écrire l’histoire des compositrices [2024 avec Pauline Milani].
Lieu
Local du Lyceum Club, Beaux-Arts 11, Neuchâtel
Entrée
Adultes : non membres CHF 15.-, Lycéennes : CHF 10.- ; Jeunes en formation : gratuit